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Nouvelle confiture de coings!
Le 23/12/2022
Nouvelle confiture ou... vraie confiture, en quelque sorte, puisque la première (ici) était une sorte de rattrapage de compote!
Cette année, je me suis donc mise à faire de la confiture de coings, parce que j'avais beaucoup de coings, que je suis une grande amatrice de confiture, et que je ne voulais pas gaspiller tous ces beaux fruits, ni continuer à manger de la confiture industrielle alors que j'avais tellement mieux!
Le résultat fut à la hauteur de mes espérances, raison pour laquelle je trouve utile de vous en faire part aujourd'hui.
Nez à nez avec un serpent!
Le 20/05/2019
L'été arrive à grands pas, et avec, la hantise des bestioles!
Il y a quelques jours, alors que je venais de prononcer ce rituel de trois mots : "C'est terminé!" pour engager mes 3 petits élèves de 4ème AP à rentrer chez eux, voilà que le premier à sortir de chez moi entrouve la porte et s'arrête net dans son élan. Un serpent s'apprête en effet à profiter de l'ouverture de la porte pour pénétrer dans la pièce. Par réflexe, l'enfant a, semble-t-il, refermé la porte, puis il l'ouvre à nouveau, donnant de légers coups de pieds à l'intrus, afin que ce dernier lui laisse le passage libre. Ni cri, ni rien, juste un semblant de "laisse-moi passer s'il te plaît", genre : "chacun son tour, hein!".
Canicule sur la Kabylie!
Le 24/07/2018
"Quand les chameaux arrivent à *---------*, ils commencent à saigner du nez."
Voilà ce que m'a raconté ma fille ce matin, au petit-déjeuner, sur ce qui se dit au sujet de notre village de Kabylie. Un village où il ferait, si l'on en croit les rumeurs, un peu plus chaud qu'ailleurs, au point qu'en y pénétrant, les trop fortes températures seraient susceptibles de provoquer les saignements de nez des chameaux! Vous imaginez!!!
Stop à la javel dans mes bouteilles d'eau!
Le 10/05/2018
Ca fait 18 ans que nous vivons en Algérie, et ça fait presque 18 ans que je mets quelques gouttes d'eau de javel dans mes bouteilles d'eau. Deux gouttes par litre, pour être exacte.
Oh, l'idée n'est pas venue de moi, loin de là. C'est un médecin en France, consulté peu avant notre départ, qui nous avait conseillé cette méthode, plutôt que d'acheter de l'eau minérale bien plus onéreuse, surtout pour une famille nombreuse!
Récolte 2018 terminée!
Le 29/01/2018
L'année dernière, alors que je voulais commencer à cueillir les olives de mon jardin à la mi- novembre, je fus arrêtée dans mon élan par un : "Trop tôt pour commencer, les huileries ne sont pas encore ouvertes!". Vous vous souvenez?
Eh bien cette année, rebelote! Mais pas pour les mêmes raisons.
Eh oui, encore du berkoukès!
Le 17/12/2017
Le berkoukès, pour moi, c'est un peu comme le couscous et le makfoul : un délicieux plat du quotidien de la Kabylie.
C'est un plat que je faisais assez souvent à mon arrivée en Kabylie. Mais comme je n'avais pas toujours les petits grains de plomb pour le réaliser et que ceux du commerce ne me plaisaient pas du tout, j'ai ralenti la cadence pour ne plus en faire du tout.
J'ai donc passé des années à préparer presque exclusivement le makfoul et le couscous, pour lesquels la semoule industrielle était à mon avis bien mieux réussie, délaissant ainsi le pourtant si réconfortant berkoukès.
L'automne en Algérie
Le 15/10/2017
Pour moi, l'automne en Algérie, c'est le début des bonnes choses, comme l'arrivée des poires, des grenades et des coings.
Mais surtout, c'est le moment où le soleil devient enfin mon ami, où je peux à nouveau le chercher sans qu'il s'impose à moi.
Après l'avoir fui tout l'été, me voilà désormais à épier le moindre de ses rayons pour me laisser couvrir par leur douce chaleur.
Minimaliste, moi?
Le 09/09/2017
Minimaliste, moi? Ca se pourrait. Mais alors, pas exprès!
Minimaliste comme on l'est lorsqu'on se dit que ça risque de prendre un certain temps avant de tomber sur l'objet rêvé, qu'on finit, un jour, par tomber dessus alors qu'on n'y pensait même plus, tellement y a d'eau qu'a coulé sous les ponts (enfin, ça, c'est juste une image, parce qu'en Kabylie, l'eau ne coule pas sous les ponts comme ça), et qu'on en arrive, ce jour-là, à se demander comment on a pu, même en rêve, avoir besoin de cet objet-là!