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Salon du livre 2016 à Alger : j'y suis allée!

Le 08/11/2016

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J'ai l'habitude d'entendre certains blogueurs et blogueuses lancer fièrement : "J'étais au salon des allergies alimentaires, des voyages, de la cuisine..." pour dire qu'ils y présentaient leur livre ou bien leur blog et qu'ils avaient même eu droit à une petite interview! 

Moi, lorsque je vous dis que j'étais au salon du livre 2016 à Alger, c'est juste pour vous dire que je m'y suis promenée, que j'ai eu le plaisir d'y apercevoir des auteurs dédicacer leurs livres (j'aime trop ça!), d'y découvrir des écrivains algériens dont je connais à peine le nom mais que tout le monde semble connaître ici en Algérie (pauvre de moi!), d'y entrevoir des livres francophones sur des sujets et des auteurs à la mode, etc, etc, etc...bref, de quoi avoir envie d'y retourner chaque jour du salon!

Coings au sirop

Le 23/10/2016

Ma grand-mère m'avait habituée aux poires au sirop qu'elle ressortait autrefois presque solennellement tout au long de l'année. 

Ma mère m'a habituée aux prunes au sirop, dont je goûtais les délices il n'y a pas encore si longtemps.

Aujourd'hui, en Kabylie, je me délecte des coings au sirop de ma vieille voisine de 85 ans. Un régal!

Chaque année, elle récolte ses coings, les coupe en morceaux sans les éplucher, puis les met à cuire dans de l'eau qu'elle sucre en cours de cuisson.

Et voici l'heureux résultat!

 

Coings au sirop

De la verveine au jardin!

Le 19/10/2016

Verveine

 

Il fut un temps où je connaissais la verveine seulement dans les sachets d'infusion. Vous savez, les boîtes du gros mammifère à trompe...

Sans mauvais jeu de mots, je peux dire que ces sachets d'infusion n'ont jamais été ma tasse de thé!

Je goûtai plus tard aux feuilles de verveine séchées, vendues en vrac dans un autre genre de boîtes. 

Idem, le goût de la verveine séchée continuait à me donner quelque peu la nausée.

De l'ail pour mes légumes.

Le 10/10/2016

Ail,cuisine kabyle

 

En Normandie, on a la crème fraîche pour agrémenter les légumes. En Kabylie, on a de l'ail.

Un condiment que l'on trouve dans la plupart des jardins de ma région, blanc ou violet, que bon nombre de femmes pilent en grande quantité au moment de la récolte, et conservent au congélateur pour l'utiliser toute l'année dans leur quotidien culinaire.

Ce qui m'a le plus marqué et qui m'a grandement facilité la vie, à moi qui avais perdu tout espoir d'avoir 7 jours/7 un pot de crème fraîche normande au frigo pour en arroser mes légumes, c'est l'emploi de l'ail pour faire d'un simple plat de légumes un met des plus raffinés!

J'irai revoir ma Normandie...

Le 22/09/2016

Normandy 1046092 640

 

Puisque je suis encore, semble-t-il, dans ma période "souvenirs, souvenirs..." et intense nostalgie, je n'ai pas eu envie d'arrêter en si bon chemin sur le thème de "l'exilé en quête de..." ...je ne sais pas trop de quoi, en fait! "D"identité"? Non, trop à la mode, ce mot-là!

Nos premiers makrouts

Le 07/09/2016

Semolina 826172 640 Dates 1067265 960 720 Michelia champaca 340540 640

Les makrouts, je les ai toujours aimés.

Enfin, depuis que je les connais, évidemment.

Ma première prise de contact avec les makrouts remonte à une bonne vingtaine d'années. Des makrouts que nous avait envoyés ma belle-soeur, lorsque nous habitions encore en France. Elle, en Kabylie.

Elle nous avait alors fait parvenir des makrouts et des oranges. Des makrouts à vous donner envie de goûter à toutes les pâtisseries kabyles, et des oranges dont l'odeur vous donne l'impression d'être tout droit tombé(e) dans une oasis!

Partir, c'est mourir un peu...

Le 19/08/2016

Oh là là, que vous vous dîtes peut-être, il ne faut pas être un peu déprimé pour intituler de la sorte un article de blog, tout juste 10 jours après un retour de voyage? 

Non, non, vous répondrai-je, c'est juste que lorsque je suis tombée par hasard sur ce vers d'Edmond Haraucourt: "Partir, c'est mourir un peu", je me suis sentie quelque peu remuée.

Puis quand j'ai lu ces 2 autres vers "C'est son âme que l'on sème, Que l'on sème à chaque adieu" tirés du même poème "Le rondel de l'adieu", je me suis sentie plus intensément et plus justement touchée encore, comme si Edmond Haraucourt avait su mettre en mots le trouble qu'il m'arrive parfois de ressentir à la simple évocation de mon pays natal, et qui habite sans doute bon nombre de migrants, expatriés et exilés du monde entier...

Pour que ce vers d'Edmond Haraucourt soit d'ailleurs ainsi repris dans le monde entier au point d'être devenu une véritable maxime, je me suis dit qu'il était bien certain que je n'étais pas la seule à en ressentir la justesse!

Mes 17 jours en Normandie

Le 13/08/2016

Me voilà de retour parmi vous après 17 délicieuses journées passées en campagne normande auprès d'êtres qui me sont chers.

 

Bords de Seine

Nos gâteaux de l'Aïd 2016

Le 13/07/2016

Voici nos petits gâteaux de l'Aïd, que j'ai tout juste eu le temps de prendre en photo avant qu'ils ne disparaissent totalement engloutis par la gourmandise!

 

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